Du changement à la présidence de l’ASFAC
11 novembre 2021 | Non classé
Mardi soir, salle Voltaire, se tenait l’assemblée générale de l’Asfac. Contrairement aux dernières, l’édition 2021 aura connu un fait nouveau d’importance. Après 10 années passées à la présidence du club muscatier, Philippe Ferlut n’a pas souhaité renouveler sa candidature. Une décennie, c’est la période qu’il s’était fixée en prenant la tête d’un club de plus de 450 licenciés. Jeune président, il avait succédé à Fabrice Rouanet en 2011. Le retour dans l’élite régional (R1), le premier objectif qu’il s’était fixé, avait été atteint trois saisons plus tard. Aujourd’hui, Philippe Ferlut quitte la présidence d’un club, réputé et apprécié dans le milieu, pour la formation dispensée et pour son dynamisme notamment dans l’organisation des évènements aux profits des plus jeunes. Le label Excellence de l’école de foot et les messages émanant de toute la France concernant la Ligue des Petits Princes en témoignent, l’Asfac est resté dans la droite ligne de ses fondateurs de 1954. Des finances saines, le nouvel objectif d’accéder au championnat N3, Philippe Ferlut laisse une association où tous les voyants sont au vert.
Elu à l’unanimité par le comité de direction, Jean-Luc Mathé-Roussel est le nouveau président de l’Asfac. De retour dans sa ville d’origine, après avoir exercé ses activités professionnelles dans le nucléaire en Ardèche, ce Frontignanais est aussi arbitre du district depuis une vingtaine d’années. A ce titre, il a des idées bien précises sur ce qu’il attend du club : “J’attache une grande importance aux valeurs sportives: la discipline, le respect, la tolérance et le contrôle de soi. Cela peut paraitre naturel mais cela doit être la mission de chaque éducateur que de les dispenser et le devoir des licenciés de les mettre en pratique.
La direction d’un club, Jean-Luc Mathé-Roussel, l’a déjà exercée durant une dizaine d’années à l’union Sportive Meyssoise (07), au comité de direction depuis un an, il connait donc bien les difficultés mais aussi les satisfactions liées à sa fonction. Enfin et surtout, il prône la continuité du bon travail de son prédécesseur